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bilan

Questions de …Mobilité interne

La mobilité interne est plébiscitée par la grande majorité des entreprises car jugée à priori bénéfique tant pour les cadres que pour elles-mêmes. Elle contribue à la fidélisation des cadres, développe la transversalité entre les différents services, permet de choisir un collaborateur dont les compétences sont connues et qui maitrise déjà la culture de l’entreprise.
Elle peut aussi être valorisante pour attirer des candidats de l’externe ; tout ceci contribuant à valoriser l’image employeur de l’entreprise, comme étant un véritable interlocuteur sur les question de gestion des carrières .
Néanmoins, la posture adoptée par les entreprises diffère selon qu’elles appréhendent la mobilité interne sur le court ou le long terme. Elle peut être mise en place pour répondre à un besoin immédiat de l’entreprise (création ou vacance de poste) ou peut être anticipée afin de gérer au mieux les emplois et construire des parcours professionnels.
Dans les faits, elle semble majoritairement pensée et traitée sur le court terme (étude APEC 2013). La plupart des RH évoquent la gestion anticipée de la mobilité interne plutôt comme un objectif à atteindre ; ceci engendrant une « vraie » stratégie à mettre en place, commençant avant tout par le référentiel des compétences.
La mise en œuvre d’une politique de mobilité interne dépend bien sûr de la taille et de la structure de l’entreprise, celle-ci devant être d’une taille suffisante pour offrir des opportunités pour les cadres de changer de poste.
Elle découle aussi de la culture d’entreprise. Pour se développer, elle doit être portée par l’entreprise et intégrée par les différents acteurs (RH, managers, cadres). La représentation a priori négative de la mobilité chez l’un de ces acteurs est un obstacle majeur. Et sans une culture de la transversalité, la mobilité interne est un processus plus compliqué, voire impossible à mettre en œuvre pour certains RH.
Ces différents éléments influent lors de l’arbitrage entre mobilité interne et recrutement externe. Lorsque les RH cherchent à pourvoir un poste, il n’est pas rare de voir leur choix se porter finalement sur le recrutement, soit parce que les ressources internes ne permettent pas de répondre aux exigences du poste, soit parce que l’entreprise préfère opter pour un mode de recrutement qu’elle estime moins pénalisant ou perturbant pour l’organisation.
Le recrutement interne ne s’improvise pas et s’avère souvent plus compliqué qu’un sourcing externe. : gérer les insatisfactions, la motivation et l’implication des collaborateurs non choisis, envisager des plans de formation individualisés pour miser sur l’évolution, sans certitude de réussite …(Source : Apec, Politiques et pratiques de mobilité interne des cadres dans les entreprises, juin 2013)
Côté managers, bien que l’accompagnement et le développement de leurs collaborateurs soit une de leurs priorités (étude EM Lyon/cabinet Hommes et Performances/Apec 2011), de nombreux managers ont encore des difficultés à les laisser « voler de leurs propres ailes » … cette attitude étant certainement liée à une méconnaissance des dispositifs d’accompagnement RH pouvant leur être proposé (accompagnement dans le recrutement, accompagnement dans la transition du départ du collaborateur, accompagnement dans la formation et l’intégration du remplaçant …) … tout ceci étant également lié à la confiance du manager en son entreprise et en ses solutions de remplacement pour maintenir le niveau d’activité de son service .

Côté collaborateurs ; on constate souvent un souhait d’évoluer en interne, vers une nouvelle fonction ou un nouveau métier mais la plupart n’en informent pas forcément leur Rh ou leur responsable hiérarchique (source : Apec, Panorama des mobilités professionnelles cadres 2012). C’est ainsi que souvent, le collaborateur choisit aussi la voie externe pour envisager son évolution professionnelle.
Je fais également ce constat au contact des salariés que j’accompagne en bilan de compétences. Le bilan est le moyen pour eux, d’envisager un cadre de réflexion et de mise en perspective de leurs souhaits, auprès de leur hiérarchie.
Ainsi donc les entreprises et les collaborateurs manquent parfois leur rencontre, faute de communication ou de moyens mis à disposition pour leur faciliter l’analyse et la mise en place de voies d’orientations et d’évolutions internes… afin de le permettre de continuer un bout de chemin ensemble, pour tous les enrichissements évoqués plus haut, tant pour le collaborateur que pour l’entreprise.
L’intervention du conseil dans ce genre de problématique, permet une prise de recul sur les pratiques Rh existantes, une analyse des postes vecteurs d’évolution, ainsi qu’un regard neutre auprès des collaborateurs en volonté de mobilité :
• La connaissance des métiers et des compétences transversales de l’entreprise,
• L’identification des profils de compétences des collaborateurs
• La mise en place d’une palette d’outils disponibles pour favoriser les évolutions : entretiens de carrière ou d’orientation, bilans professionnels, évaluations comportementales ou assessment pour évaluer la transférabilité des compétences ou les aptitudes managériales, par exemple
• formation des managers à la prise en compte des compétences de leurs équipes et à la réelle nécessité de leurs évolutions …/..

La notion de temps dans la recherche d’emploi

Voilà quelques années que je conseille des salariés et demandeurs d’emploi dans la recherche de leur futur emploi et je me fais la remarque que la temporalité prend tout son sens dans leurs démarches et cela, à plusieurs niveaux :
Il y a tout d’abord une culpabilité liée à la durée de la recherche … « vous comprenez ; cela fait déjà 6 mois … » Cette remarque n’ayant aucun sens car elle ne tient pas compte , par exemple :
– Des vacances scolaires (été, noël…) où l’on sait que la France s’arrête…
– Du secteur d’activité de l’entreprise ; certains secteurs utilisent les offres d’emploi avec parcimonie et se focalisent davantage sur les cooptations, le réseau ; tout le monde sait que cette démarche est efficace mais prend plus de temps
– Du contexte économique ; 6 mois ce n’est rien dans le contexte actuel et si moi je le sais, mes collègues recruteurs aussi ! la durée de recherche d’emploi oscillerait aujourd’hui, pour un cadre, entre 10 à 12 mois tout secteur confondu.
– Particulièrement, cette durée varie aussi selon les motifs de licenciements ; les licenciés économiques enregistrent les plus grandes durées moyennes de chômage, plus de 500 jours au 1er trimestre 2012. (cf l’étude POLE EMPLOI (http://www.keljob.com/conseils-emploi/fileadmin/images_redac/Emploi_en_continu_2012/Etude_ICDC_pole-emploi.pdf)
– De l’accompagnement dont bénéficiera la personne en recherche ; celui-ci peut s’avérer utile pour permettre un bon ciblage des offres en fonction de son profil, ou encore de réaliser un coaching aux entretiens de recrutement, ou encore de redéfinir son orientation avant de reprendre ses recherches …
A noter, que cela n’empêchera pas les recruteurs de vous poser la question : « et depuis tout ce temps, vous n’avez pas encore repris un poste ? » A vous d’être suffisamment convaincant en argumentant :
– Le besoin de faire un break, faire le point, d’analyser son parcours avant de se lancer dans la recherche
– La recherche du poste qui vous permet d’évoluer, de développer aussi de nouveaux challenges … /…
Attention également à ne pas vous laisser envahir par cette culpabilité de durée de recherche d’emploi, vous amenant à « prendre ce qui vient» et de se rendre compte, à l’issue de la période d’essai, que vous n’étiez pas fait pour ce poste … d’où une perte de « temps », d’énergie et de motivation évidente !!!!
Le temps, pour un demandeur d’emploi, peut paraître long entre 2 rdv lors d’un process de recrutement, … et oui, lui ne travaillant pas, le temps passe plus lentement que celui du recruteur qui, en plus de son recrutement, doit gérer son quotidien professionnel … comptez 10/15 jours pour un nouveau rdv, après 1 premier …
Il s’agira donc de relancer votre interlocuteur sous une quinzaine de jours… pour ne pas non plus paraître impatient ou importun..
Côté recruteur, le temps est tout aussi important ; maintenant qu’il a défini ce qu’il cherchait, il veut que le process aille vite ; là aussi, la précipitation s’avère à modérer ; un recrutement fait trop rapidement peut aussi causer de réelles déconvenues au sein de l’entreprise …
Par ailleurs, suivant la stratégie de recherche d’emploi prise en compte, la notion de temps est là aussi différente ; lorsqu’il s’agit d’une offre d’emploi, le recruteur a écrit sa stratégie, il sait ce qu’il cherche et l’a communiqué ; il attend des réponses, qu’il prendra le temps d’étudier, de classifier afin d’en sélectionner pour un premier entretien (15 jours environ) ; tout étant balisé ; le processus de recrutement (date de démarrage du contrat incluse), pour un cadre, pourrait osciller entre 2 et 3 mois.
Dans le cadre d’une démarche réseau ou de candidatures spontanées, le recruteur sait qu’il a un besoin ; besoin qu’il n’a pas encore complètement défini et vous, vous arrivez là, avec vos compétences, votre regard face à sa problématique … ce qui va le faire évoluer dans sa réflexion, l’amener à budgéter son besoin … cela sera bien évidemment beaucoup plus long, mais certainement plus « payant », car vous serez seul en lisse ( !) si tant est que vous ne l’ameniez pas à communiquer sur son besoin….

Réussir un changement d’orientation

Vaste programme, me direz vous, surtout en cette période « trouble » où l’on ne sait pas vraiment comment voir l’horizon au sein de son entreprise, se son service, voire de son propre poste.
Et si c’était mieux ailleurs ? ailleurs, mais Où ? dans la même fonction et si je changeais de fonction … comment ?
En conduite du changement, les méthodes et outils de coaching sont nombreux, peut être aussi nombreux qu’il y a de coachs … N’est-ce pas ?
Je retiendrai ceux d’Alain Goudsmet, coach sportif, qui nous indique qu’il y a plusieurs étapes avant de réussir le changement :
Lorsqu’il y a changement, on passe par 3 états successifs :
• Un état initial : NORM (principe de l’homéostasie : équilibre du système qui fera tout pour revenir à l’état initial) …. Je veux changer ; ai-je vraiment raison ? après tout, on est pas si mal ici … et puis, on ne sait pas de ce que demain sera fait … mon poste, je le connais bien, mon supérieur aussi ..
• Un état d’inconfort (on vit la perturbation) : sans inconfort il n’y a pas de changement STORM un cabinet m’a repéré la semaine dernière sur VIADEO ; je suis en entretien… hum ça faisait longtemps que je n’avais plus fait ce genre d’exercice … j’y suis allé « pour voir » et le consultant m’a présenté un poste attractif (meilleure rému, possibilité d’évolution pour moi …) je me projette dans la future entreprise …
• Une notion de sens (relier le changement à un FUTUR, il s’agit de lui donner du sens pour l’accepter)TRANSFORM … je m’y projette et vois ce que cela va me procurer … une meilleure situation professionnelle, une montée en compétences, une entreprise dont les valeurs semblent me convenir, une belle carte de visite sur mon CV ….
• Pour tout changement, Il faut disposer d’ un SUPPORT; c’est la notion de PERSEVERANCE ; mon environnement proche (dit « émotionnel » ) me soutient dans la suite du process de recrutement ; mon épouse est super emballée, elle trouve que le poste me conviendrait à merveille, elle est prête à me suivre dans l’aventure … du coup, je recherche des infos sur la boîte, prépare mes futurs entretiens, envisage des simulations … j’ai décidé de mettre tous les atouts de mon côté pour créer les conditions favorables afin de supporter ce changement PERFORM
Dans cette dernière phase, il y a également plusieurs étapes qu’il convient d’analyser :
1. Ce que j’ai compris sur MOI : qui je suis ; mon profil de personnalité, mes valeurs et intérêts, ce qui me motive ; là où j’ai envie d’aller … ce en quoi je crois … en bref, ce que je sais de moi

2. Ce que je suis capable de fournir pour ce nouveau challenge ; il s’agit des moyens que je me donne pour y arriver : en termes de compétences pro, mes atouts, comment mon profil pro est perçu sur le marché du travail, les objectifs que je me fixe dans la gestion de ma carrière
3. Ce que je veux ; il s’agit là de repérer le résultat que je souhaite atteindre : en termes de fonction, d’expertise, de rémunération …
4. J’AGIS : par quoi vais-je commencer ? ciblage de mes entreprises, mon offre de services, la visibilité de mon profil sur le net, la préparation de mes entretiens, affiner mes arguments et contre-arguments….

Ensuite, les stratégies pour « agir » et mener à bien votre « changement » d’orientation, sont différentes suivant le projet qui vous anime ..

si je croise mon souhait d’orientation en « Fonction identique / Secteur professionnel identique » : La réponse aux offres est la plus adaptée ; aucun risque dans cette option, si ce n’est d’être en concurrence avec des profils identiques …

si je croise « fonction différente / secteur professionnel identique » : Vous visez là une montée en compétences (par le management) ou une expertise métier (formateur, responsable SAV …), il s’agira donc de faire la preuve que vous êtes capable d’évolution … La candidature spontanée ou le réseau relationnel sont à privilégier …

Si je croise « fonction identique / Secteur professionnel différent » : Ici, il faudra montrer que même si le secteur est différent, vos compétences sont transférables et donc mettre en exergue les passerelles … idem, la stratégie idéale : spontanée ou réseau

Enfin, croison « fonction différente / secteur différent  » : Ici, peu importe le CV … on retrouvera des projets de reconversion passant par une période en formation ou par la création de votre entreprise ou encore, le développement de compétences extra-professionnelles …

J’espère que ces premiers éléments vous permettront de préparer votre changement d’orientation. Pour travailler sur les phases 1, 2 et 3 , n’hésitez pas à vous aider, à faire appel à un tiers ; un regard en miroir est toujours plus « facilitant » …

A quoi sert un bilan de compétences ?

Pour l’entreprise ou pour le salarié, découvrez à quoi sert de faire un bilan de compétences! Véritable outil de gestion de carrière, il est utile dans bien des situations, que l’on soit salarié, Rh ou manager.

Pour l’entreprise : comment utiliser bilan de compétences?

faire un bilan de comptences

Le bilan de compétences: un outil au service du manager

Vous souhaitez piloter l’évolution de carrière de vos salariés?

La loi Travail (LOI n°2019-486 du 22 mai 2019 – art. 11 (V) ), depuis Mai 2019, impose la tenue d’un entretien professionnel tous les 2 ans entre l’employeur et son salarié (Article L6315-1). Cet entretien est consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

Dans ce cadre, nos clients Responsables RH et managers, nous sollicitent pour accompagner leurs collaborateurs dans: 

  • la gestion de leur carrière
  • une approche réflexive, en lien avec les évolutions de l’entreprise mais aussi les évolutions du travail
  • la recherche permanente de leur employabilité
  • la réflexion d’un « parcours évolutif » avec l’entreprise, afin de les « fidéliser », sur un marché de l’emploi florissant où les opportunités externes sont multiples …

et tout ceci, afin de disposer d’un plan d’actions réalistes, pour avancer avec l’entreprise.

Ainsi, le bilan de compétences est un des outils dont le manager dispose, dans sa mallette, pour aller plus loin, dans l’accompagnement professionnel de ses collaborateurs.

Accompagner la reprise d’un salarié après un Burn-Out grâce à un bilan de compétences

A la reprise d’un épisode de Burn-Out (ou d’épuisement professionnel), la vision du salarié a évolué.

Ses objectifs personnels et professionnels ne sont plus les mêmes et envisager son retour, nécessite de se poser et souvent, de revoir les missions.

Il s’agit souvent d’un « homme-clé », que vous ne souhaitez pas perdre au sein de l’entreprise.

Aussi, votre rôle, en tant que Rh ou manager devient celui d’un coach en gestion de carrière, de manière à aider votre collaborateur à rebondir professionnellement, au sein de l’entreprise.

L’objectif doit être WIN/WIN, pour lui, comme pour l’entreprise.

Donc, ce sera, pour lui:

  • le moyen d’accéder à de nouveaux challenges,
  • d’être plus aligné avec ses aspirations, sa personnalité et ses valeurs,
  • d’être donc forcément plus efficient pour l’entreprise.

Un bilan de compétences pour accompagner la mobilité interne

Votre entreprise ne cesse de croître. Vous souhaitez accompagner les collaborateurs de la première heure. Ceux qui connaissent l’entreprise depuis ses débuts et qui ont envie de s’investir encore plus dans l’aventure.

Cependant, ont-ils le profil ou la personnalité pour encadrer les équipes, intégrer les nouveaux?

Gérer des projets ou gérer des hommes, c’est le propre du cadre. Il n’en demeure pas moins que le management d’équipe constitue une étape essentielle pour élargir le champ de ses responsabilités en entreprise. Cela nécessite des qualités spécifiques, différentes du management de projet: savoir communiquer, être capable d’écouter; autant de qualités (ou soft skills) indispensables pour devenir manager d’équipe.

Au jour le jour, le manager se doit aussi de gérer les congés, d’évaluer ses collaborateurs, de décider des formations, …

Dans le contexte actuel, encore appelé VUCA* (Volatile, Uncertain, Complex , Ambigu) ou encore incertain et mouvant, le job du manager est de:

  • obtenir le meilleur de ses collaborateurs, pour atteindre les objectifs fixés
  • légitimer son autorité
  • s’approprier les objectifs de l’entreprise et les relayer, en suscitant l’implication

C’est tout l’art du management : obtenir sans imposer, écouter et savoir trancher et surtout, donner du sens.

Proposer de faire un bilan de compétences, dans ce cadre, c’est donner le moyen à votre collaborateur :

  • d’évaluer son potentiel pour une montée en compétences,
  • de repérer ses atouts mais aussi ses points de vigilance,
  • de l’accompagner à « monter la marche » en préparant, avec lui, l’accompagnement formation nécessaire.

Pour le salarié : A quoi sert de faire un bilan de compétences?

Vous vous posez des questions sur votre devenir professionnel et vous souhaitez faire évoluer votre carrière?

Vous envisagez une réorientation professionnelle, explorer votre potentiel et développer votre identité professionnelle.

Bonne nouvelle : le marché de l’emploi est plus que porteur !! Mais comment se diriger ? Où trouver du sens ? Donnez vous les moyens de réussir ces changements!

faire un bilan de compétences FRh Cinseil

Voici quelques exemples concrets :

  • Vous avez un projet de création d’entreprise ? Définir son projet personnel est une étape très importante, malheureusement souvent négligée !
  • Un projet de reconversion professionnelle ? Envisager une réorientation sans se tromper .. « mais quelle voie choisir ? je n’ai pas d’idée » …

Faire un bilan de compétences, c’est ouvrir le champs des possibles

Dans un premier temps, le bilan de compétences permet de :

  • vous permettre de creuser vos intérêts personnels et professionnels,
  • mieux vous connaître, sur le plan des valeurs et de votre personnalité,
  • ouvrir le champs des possibles, en découvrant des orientations qui vous ressemblent.

Faire un bilan de compétences, c’est aussi définir un plan d’actions réaliste et pragmatique

Et dans un second temps, les pistes d’orientation ainsi élaborées sont testées, en 3 étapes:

  • par l’étude de fiches métiers,
  • au travers d’enquêtes métiers réalisées auprès de professionnels,
  • au regard du marché du travail et de la réalité de leur mise en oeuvre (faisabilité, reprise d’études, étude des contraintes personnelles …).


En conclusion, le bilan de compétences vous aidera à répondre à ces questions, et vous permettra de:

  • envisager le job d’après,
  • mais aussi de concevoir un véritable plan de gestion de votre carrière,
  • savoir argumenter votre projet auprès d’un recruteur, d’un banquier ou d’un responsable de formation.

Pour faire un bilan de compétences chez nous, c’est ici

L’environnement VUCA* vous intéresse? une petite explication de Benjamin Chaminade ici

C’est la rentrée … posons-nous les bonnes questions!

Ça y est … les vacances sont finies …exit les valises déjà rangées dans les armoires, exit les tongs les soirées rosé pamplemousse … fini la sieste ; il va falloir reprendre le rythme.
Et c’est souvent à ce moment, que l’on se prend à penser à son job, à revoir ses priorités … ses motivations …

Question : si vous travaillez beaucoup, est-ce avec plaisir ?

Une enquête (sociovision, 2009) montre qu’une forte minorité (22%) de cadres associent Bien-Etre et Désengagement … paradoxe ou signal ?

Quelques signes à ne pas prendre à la légère…
• Tous les soirs, quand vous sortez du bureau (20h), vous jurez de changer de job !
• Le yucca de votre bureau moisit faute d’avoir été trop arrosé
• En une semaine, vous avez changé 4 fois de fond d’écran
• Impossible de savoir ce qui s’est dit à la dernière réunion de département
• Vous avez mis 5 job boards dans vos favoris
• Vous êtes brutalement passé de 72 amis à 452 sur facebook ou viadeo
• Vous déjeunez 3 fois par semaines avec dans anciens de votre école
• Vous vous êtes mis à étudier le statut d’auto-entrepreneur, pour un revenu d’appoint

Quelques solutions :

• Relevez la tête
Parler de ses difficultés, de son insatisfaction, de ses inquiétudes … à quelqu’un d’extérieur à l’entreprise, permet de se libérer du quotidien

• Faites un bilan
Seul ou avec un consultant, trouvez ce qui vous est indispensable pour bien travailler et pour avancer. Faire déjà ce bilan, c’est s’accorder une prise de liberté.

• Identifiez ce qui vous plaît
Identifiez ce qui vous plaît le plus dans votre métier pour y consacrer plus de temps.
Aux premiers signes de démotivations, rencontrez votre n+1 pout clarifier vos missions, vos objectifs et vos moyens, voire lui faire des propositions d’actions différentes …

Les 8 clés de la réussite ….dans votre recherche d’emploi

J’ai découvert un site exceptionnel grâce à l’un de mes clients … TED spreading ; TED pour Technology, Entertainment, Design.
Je rentre le mot “travail” dans le moteur de recherche et tombe sur la vidéo (plus bas) de Richard St John qui, après 7 ans de recherche et 500 interviews de grands patrons américains, a réussi à décliner une typologie des éléments menant à la réussite en 8 points.
PASSION – WORK – GOOD – FOCUS – PUSH – SERVE – IDEAS – PERSIST.
Je vous laisse découvrir cette vidéo, somme toute pleine de bon sens, agrémentée de citations de Rupert Murdock, en passant par Bill Gates …
Je pense que la réussite dans la gestion de votre carrière, dans la recherche d’un emploi est totalement transposable à la réussite dont nous parle Monsieur St John.
les 8 clés de la réussite Richard St John

Si l’on reprend point par point ;
– LA PASSION ; lorsque l’on aime son job, il est facile de montrer nos réussites professionnelles, de les argumenter face à un recruteur et de les valoriser. Celui-ci sera sensible à l’étincelle que vous avez dans votre regard, ce petit truc en plus qui fera que vous serez la personne choisie parce que motivé d’exercer votre job dans son entreprise ….

– TRAVAILLER : on a rien sans mal … soit, en ces temps de crise, cessez de vous dire que vous n’êtes pas désirable après deux mois de recherche d’emploi … la moyenne de recherche d’emploi pour un cadre, en ce moment, est plutôt de 8 à 12 mois … donc travailler, travailler dur pour trouver l’opportunité qui fera rebondir votre carrière, c’est normal !

Cela veut dire, que la recherche d’emploi est « un job à temps plein » et que, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les nouvelles technologies ne remplacent pas tout … ok vous vous êtes abonnés à des moteurs de recherche d’offres, votre Cv est dans plusieurs candidathèques et vous êtes en veille sur le net ; cela ne suffit pas ; il faut aussi sortir de son bureau et rencontrer des gens « en vrai »….les réseaux, les clubs, vos ex collègues, clients et fournisseurs …. De cette manière, il n’y a pas de quoi culpabiliser d’être en recherche d’emploi : vous faites ce qu’il faut ; c’est ce que j’appelle «semer pour récolter » …

– EXCELLER… dans son métier …
Plusieurs remarques sur ce point :
la première notion serait de repérer dans votre parcours, ce que vous faîtes bien et voulez continuer à bien faire et SAVOIR l’exprimer : un contexte, la méthode que vous avez employée, les résultats ..
Exceller dans son job c’est aussi se tenir en veille sur ses évolutions ; les règlementations, les nouveautés dans votre secteur .. les réseaux sociaux vous seront très utiles pour cette démarche de veille ; notamment par Twitter mais aussi en s’inscrivant sur des groupes de professionnels vous permettant d’échanger entre homologues …
Cela peut aussi être la possibilité d’utiliser votre temps de ‘transition’ en réalisant une formation complémentaire… n’oubliez pas que vous avez des heures de DIF à votre disposition (votre ex employeur a du vous les notifier puisque celles-ci sont « portables »…)

– SE CONCENTRER sur son objectif
On peut par exemple penser que l’objectif est évident ; il s’agit bien de retouver un job … oui, pour autant, il ne faut pas non plus que cela devienne « un job à tout prix ».
La tentation de trouver vite est évidente, cependant ne perdez pas de vue aussi que la recherche d’emploi peut être une opportunité dans votre carrière, de vous permettre une évolution professionnelle, de prendre le temps de trouver une entreprise plus en phase avec vos valeurs …. Ce que je veux dire, c’est que vous êtes en fait, « en position de choix » et oui ! de choisir celui qui vous emploiera, en fonction des challenges à relever, des évolutions dans son organisation, des valeurs que son entreprise véhicule …
Se concentrer sur son objectif c’est donc savoir là où l’on veut aller dans son futur job, être clair sur son projet professionnel.
Si vous êtes au clair là-dessus, vous saurez exprimer auprès de votre interlocuteur, votre projet et vos argumentaires avec aisance et fluidité.

– POUSSER … repousser ses limites, faire des efforts mentalement et physiquement …
Qui a déjà réalisé des entretiens de recrutement sait que cela nécessite des efforts, une concentration et que l’on en ressort souvent « usé » …
C’est aussi la notion d’un « environnement » qui vous booste ; cela peut être votre entourage familial, des amis, des gens qui ont travaillé avec vous et qui connaissent votre façon de travailler.
Cela peut aussi être un individu neutre tel qu’un consultant, un « coach » … car vous connaîtrez des hauts et des bas, et dans ce genre de situation, avoir une certaine « régularité » dans votre réflexion, votre jugement, votre état d’esprit, est essentiel.
Poussé, c’est aussi la possibilité des réaliser des entretiens par recommandations d’ex collègues, clients ou fournisseurs ; ceux-ci vous ont vu travaillé et ils sauront parler de vous d’autant mieux qu’ils vous connaissent sur le plan professionnel.

– SERVIR … n’oubliez pas que vous apportez de « la valeur » de par votre expérience, vos compétences, votre personnalité … tout ceci contribue au fait que vous êtes unique, même si vous êtes encore 4 en lisse sur le poste. C’est donc à vous, de faire la différence et de repérer vos avantages concurrentiels…
– IDEES… Avoir des idées ; on a vu que souvent, faire preuve d’originalité peut aider pour sortir du lot ; je pense à ce jeune diplômé qui a fait un buzz sur le net par le montage vidéo d’un CV ou à ce cadre qui a décidé de faire un courrier manuscrit en opposition à tous les courriers mails reçus par cet employeur … encore une fois, l’idée doit être concentrée sur votre cible et sur votre projet

Enfin la PERSEVERANCE … ce point là semble être à mon sens, le plus important.
La persévérance est nécessaire car dans cette recherche d’emploi, tout ne dépend pas de vous. L’environnement économique n’étant pas «aidant », il s’agira de mesurer que le temps, dans votre recherche, a son importance.
Que ne considérer que les offres d’emploi n’est pas faire preuve de persévérance ; il existe en effet d’autres créneaux à exploiter tels que les réseaux et les candidatures spontanées…
Que persévérer peut rimer avec prospecter… car la recherche d’emploi n’est rien d’autre qu’un démarchage commercial dont vous êtes le produit.
Que relancer un interlocuteur identifié, après l’avoir rencontré et dans les 15 jours est tout à fait « normal » et conseillé ; persévérer rimera avec paraître motivé…
Qu’une série d’entretiens négatifs ne veut pas dire que vous êtes « nul », mais simplement que votre argumentaire n’est peut être pas adapté ; on vous a reçu, c’est que potentiellement vous les intéressiez…
Qu’un processus de recrutement complet pour un poste non abouti, n’est peut être qu’un atout en moins par rapport à votre concurrent…. La prochaine fois sera la bonne. Passer 3 voire 4 entretiens avec des interlocuteurs différents montre bien que vous êtes rôdé et que cela s’est joué sur un fil….
A vous de jouer maintenant ! …

Progresser au sein de votre entreprise …

61% des cadres sont insatisfaits de leurs perspectives de carrière (sources Apec),

A la question, « si mon entreprise me demande de m’investir, je suis prêt à le faire », 80% des cadres répondent présents (enquête SOCIOVISION, 2009)

54% pensent qu’il est difficile d’en parler à leur supérieur (sources Ifop, 2008)

Il s’agit d’évaluer objectivement comment votre entreprise valorise vos compétences (ou pas).

3 questions à se poser :

  ►ETES VOUS PROMU REGULIEREMENT ?

Quelques indicateurs :

– Statistiquement, si passé 4 années, vous n’avez pas évolué ni en fonction, ni en rémunération … attention !

– La formation : si vous n’en avez pas bénéficié depuis 4 ou 5 ans … idem !

NE PAS AVOIR PEUR DE SOLLICITER UN ENTRETIEN ; selon la dernière enquête mobilité de l’apec, 50% des cadres qui ont demandé une augmentation l’ont obtenue !

25% des cadres promus en 2008 l’ont été à leur propre demande

FAITES VOUS-MEME VOTRE PROMOTION !

Quelques pistes pour vous y aider :

– Reprenez vos résultats, comptes-rendus d’entretiens annuels, actions dans lesquelles vous vous êtes rendus disponibles …

– Faites-vous aider : demander un bilan de compétences et parlez-en !

– Tenez-vous informé de ce que le marché attend de votre profession

– Continuez à répondre à des offres, à vous tester en entretien de recrutement

► L’ENTRETIEN ANNUEL VOUS PERMET-IL D’EXPRIMER VOTRE DESIR D’EVOLUTION ?

Ce rendez-vous est un moment décisif à « utiliser » et à PREPARER !!

Il s’agit d’y évoquer vos perspectives d’évolutions, même si cet entretien vous apparaît encore un peu formel et vide de sens… A VOUS d’EN DONNER ET D’IMPOSER VOS EXIGENCES … « j’aimerais que l’on fasse le point sur 3 choses importantes pour moi : mon évolution, ma formation, ma rémunération… »

Un bon entretien doit permettre de faire un état des lieux complet de votre poste , de vos missions, des nouveaux projets et des compétences sous-tendues. Il faut tabler sur l’objectivité, étayer vos arguments de faits … tout cela montre que vous voulez bouger, et que vous êtes « dynamique ».

► VOTRE ENTREPRISE VOUS CONFIE-T-ELLES DES MISSIONS INTERESSANTES ?

Vous attribuer des missions nouvelles, c’est une manière de vous tester, de vous mettre à l’épreuve, de vous donner les moyens de progresser, en compétences et en responsabilités.

Et cela dépend de votre manager direct ! et … de la relation que vous entretenez avec lui

Si l’on vous oublie, il s’agit de déterminer si cela vient de votre manager ou de la culture de votre entreprise. L’entretien annuel est un moyen de tester votre manager…

Quelques pistes :

  • commencez par demander la délégation d’une mission mineure, faites un point régulier, puis demandez que l’on vous en confie plus
  • demandez à votre manager de définir quelle est votre tâche prioritaire ? c’est lui faire définir votre zone d’autonomie
  • ça ne marche pas, demandez une mission transversale (hors ligne hiérarchique)
  • si ça ne fonctionne toujours pas …. N’est-il pas temps de changer ?
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