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MON JOB ET MOI

6 bonnes raisons pour lesquelles les bons employés démissionnent : Manque de Vision 1/6 ANALYSES CROISEES

Voici donc la première analyse de la série, en référence à mon article de préambule …. »6 bonnes raisons pour lesquelles les bons employés démissionnent: ANALYSES CROISEES »

« Les bons managers ont une vision du futur, un plan d’avenir pour leur entreprise. Ce sont des visionnaires, qui arrivent à fédérer leur équipe autour d’objectifs communs qu’ils ont su lui transmettre. Si son manager n’a pas de vision claire, le bon employé ne pourra pas se projeter sur le long terme dans son entreprise »( sic Références.be, 25/07/13).

COTE ENTREPRISE

Effectivement, au sein d’une grande entreprise, même si le service RH est souvent en support des managers, on constate parfois des divergences ou tout au moins, une déperdition de la stratégie de l’entreprise, lorsque l’on redescend les échelons … c’est le principe même du « téléphone arabe » … la différence entre l’information diffusée et l’information perçue, dont on sait tous que nous la recevons avec nos filtres personnels. … et ce, même si  l’on est en accord total avec la stratégie et les valeurs de notre entreprise …

D’où l’importance, on ne le dira jamais assez, de travailler la communication des middle managers et de personnaliser leur approche managériale, en insistant sur les messages clés, les objectifs déclinés à leur service et les aider, parfois, à les formaliser, de manière très opérationnelle, pour chaque individu de leur équipe.

Il s’agira de présenter la stratégie par des mots clés, des expressions simples et claires et également d’apporter une vision à court terme, moyen voire long termes …

Il s’agira de répéter et de répéter encore, en toute occasion, la stratégie définie, valoriser les résultats atteints, renforcer par des exemples et des réalisations réussies … car, comme dirait l’une de mes anciennes collègues, « la répétition fixe la notion ». ; le cerveau, en grand fainéant, ne retient que ce qu’il souhaite ou connait déjà…

Pour une PME, les principes évoqués restent les mêmes. Cependant, une aide importante viendra de la structuration et de la mise en place d’entretiens annuels d’appréciation des résultats de l’année écoulée et de la mise en route des objectifs pour l’année suivante.

Cette étape, pourtant cruciale dans l’acte de management, est souvent négligée (cf un article précédent sur les étapes importantes dans la gestion prévisionnelle des compétences) … les dirigeants rencontrés à ce sujet me disent
souvent ne pas avoir pris le temps de s’en occuper, ou lorsqu’ils sont
effectifs au sein de l’entreprise, je constate une certaine anarchie dans leur
organisation … ce qui a pour effet, de brouiller les messages vis-à-vis
des salariés : pas de préparation de l’entretien ni du côté du manager, ni
du salarié, pas de support, pas d’engagement, pas d’écrit, pas de suivi et j’en
passe … autant effectivement, ne rien faire !!!

COTE SALARIE

Comment percevoir la vision de mon entreprise ?

Avant d’y rentrer, je me suis intéressé à son activité, ses évolutions, ses développements et ses valeurs (ce fameux ADN dont on nous parle aujourd’hui)… je me suis assuré qu’il me correspondait et que j’étais en accord avec les principes fédérateurs de l’entreprise … d’autant plus importants, que je devrais certainement encadrer une équipe et prôner ces valeurs … au-delà des renseignements pris via les différentes canaux possibles (presse, recherches sur le net, réseaux sociaux, mon propre réseau relationnel…) j’ai aussi la possibilité de creuser ses questions en entretien de recrutement et de m’assurer que la personnalité de mon manager soit en adéquation avec la mienne, que ses valeurs aillent dans le sens de l’entreprise et du mien … ; quelles questions lui poser ? et bien, par exemple :« demain, nous sommes amenés à travailler ensemble, par quoi commence-t-on ? » … cette même question d’ailleurs, que les recruteurs vous poseront aussi …

 

Une fois en poste, je me tiens informé des évolutions de mon entreprise parce que les services concernés sont de bons communicants (il y a un intranet performant, une newsletter, des réunions régulières avec mon n+1…. Des formations, … et j’en passe …), …

Et s’il n’y a pas tout cela, je vais à la pêche aux infos, même si cela me coûte en démarches personnelles, en temps et tout ce que vous voudrez …. Et comment fais-je ? J’utilise mon « satané réseau » dont tout le monde parle (le vrai et le virtuel !!), je récupère aussi de l’info sur la perception qu’ont mes clients de mon entreprise, voire mes fournisseurs … en bon commercial, c’est de l’info que je peux récupérer sur les salons …. A voir ensuite si l’information que je récupère m’amène à disposer (ou non) de plus de « vision » sur la stratégie de mon entreprise …

6 raisons pour lesquelles les bons employés démissionnent … ANALYSES CROISEES

Benoît, l’un de mes clients, m’a transmis cet article « 6 bonnes raisons pour lesquelles les bons employés démissionnent », paru en juillet 2013, sur le site belge Références …

A sa lecture, et surtout au constat du nombre de like qu’il a reçu ( !) 33k ! … quand même, deux choses me viennent à l’esprit :

 

  • Il s’agit à mon sens d’évidences ; de principes simples à prendre en compte lorsque l’on a les commandes d’une entreprise… comme si, lorsque celle-ci grossissait et devenait une multinationale, on loupait un virage …

 

  • Deuxième effet kiss cool,… à en lire cet article, seules les entreprises et leurs dirigeants seraient responsables de cet état de fait ; qu’en est-il de la part de responsabilité des salariés ? ? Je ne cesse de dire à mes clients d’être acteurs de leur carrière et ce, bien avant de rentrer dans leur nouvelle entreprise ….

Je vous propose donc de reprendre ces 6 raisons de démissions (en 6 articles) et de passer en revue des axes de réflexion pour les uns (dirigeants d’entreprises) et pour les autres (salariés de ces mêmes entreprises) ; voici donc une suite de 6 articles sur ces 6 raisons:

– Manque de Vision 1/6

– Pas de sentiment d’utilité 2/6 

– Pas d’empathie 3/6

– Pas de motivation 4/6

– pas d’avenir 5/6

– Pas de fun 6/6

 

Burn-Out

Aujourd’hui est déclaré « journée bien-être au travail », sur le modèle des « soirées entre voisins » ; il est question de réaliser des «journées entre collègues » …
Me voilà sur le net, à faire une recherche sur le sujet et je trouve : des journées pros, des journées gentillesse au travail, des guides en tout genre pour nous aider à bien démarrer notre journée de travail … Hier soir, Didier BOURDON illustre avec brio le Burn-Out dans un téléfilm « 15 jours ailleurs » et les témoignages de victimes et d’une psychologue clinicienne viennent compléter son interprétation sur le plateau de Benoît Duquesne (France 2)… tout ceci dans un contexte de crise, où se cristallisent les objectifs de performance d’un côté, les peurs de perdre sa place de l’autre, et les nouvelles technologies tellement efficaces qu’elles ne vous laissent pas le temps de souffler, même lorsque vous êtes en arrêt maladie.
Et pourtant, comme le signalaient les intervenants de l’émission, l’Employeur est sensé prendre soin de l’état de santé de ses salariés, de même que les salariés entre eux, se doivent de prendre soin réciproquement de leur collègues (Cf. le code du travail).

La fabuleuse histoire du Burn-Out a cela d’original ; elle touche toujours des gens très impliqués dans leur travail … «très » voire TROP ; ce trop que nous voyons de l’extérieur est pour eux, « jamais assez » ;
Ils agissent, vivent dans un surinvestissement qu’ils estiment tout à fait « normal » … au service de leur employeur. Tout ceci pourrait être parfait dans le meilleur des mondes, si l’employeur montrait de l’intérêt et de la reconnaissance envers ces salariés sur-impliqués… dans ce scenario, le Burn-Out serait évité … cela se gâte, si la reconnaissance n’est pas au rendez-vous ; le retour sur investissement n’est pas là : le salarié surinvesti se rend alors compte qu’il est seul dans ce jeu ; que personne ne l’attend et que ses objectifs, ses performances du toujours plus, ne sont pas valorisées ; il n’est pas estimé à sa juste valeur.
Il y a alors « rupture » et une véritable souffrance de la part du salarié qui bascule alors dans une profonde dépression, où les sentiments « d’incompétence », « de bon à rien » se mèlent au désir de « tout arrêter » avec les issues fatales que l’on a vu dernièrement dans de grandes entreprises françaises… Le sur-investissement se retourne alors en répression de surinvestissement ; c’est le « plus jamais ça » …
Dans toute cette boucle du Burn-Out, la victime ne peut réagir ; le cerveau fonctionne en mode automatique et ne peut faire appel aux fonctions adaptatives du cerveau pré-frontal. La victime n’est pas en « mode réflexion » ; son raisonnement est partiel, tourne en boucle fermée.
La souffrance est physique (souvent psychosomatique) et morale, la personne ne veut plus retomber dans ce travers et pourtant elle en parle tout le temps ; comme si elle n’arrivait pas à s’en détacher …
C’est généralement à ce stade que les victimes consultent…
Expliquer le phénomène du Burn-Out est déjà une des clés pour s’en sortir.
Une autre clé consistera à comprendre d’où venait ce surinvestissement.. Le cerveau fonctionne ainsi en mode « évitement – compensations » ; le surinvestissement est souvent une compensation … la preuve en est que même en obtenant de très bons résultats ou une brillante carrière, le salarié surinvesti ressent souvent une impression paradoxale d’insatisfaction…

Voici donc un petit questionnement à l’intention de mes lecteurs, proches d’un Burn-Out …
Qu’évite-t-on, qu’est-ce que l’on ne s’autorise pas lorsqu’on se surinvestit dans le travail ?
Et s’il n’y avait plus besoin de travailler, si tous nos objectifs professionnels étaient atteints ; que gagnerions-nous ? quelle liberté nous autoriserions-nous ? Voici un aperçu de l’approche neurocognitiviste, pour résoudre durablement ces difficultés au travail …

23/06/15 : Enfin, l’ANACT vient de publier un guide pour repérer les burn-out en entreprise  ici

une vidéo intéressante sur le sujet du Burn Out à Lille

La notion de temps dans la recherche d’emploi

Voilà quelques années que je conseille des salariés et demandeurs d’emploi dans la recherche de leur futur emploi et je me fais la remarque que la temporalité prend tout son sens dans leurs démarches et cela, à plusieurs niveaux :
Il y a tout d’abord une culpabilité liée à la durée de la recherche … « vous comprenez ; cela fait déjà 6 mois … » Cette remarque n’ayant aucun sens car elle ne tient pas compte , par exemple :
– Des vacances scolaires (été, noël…) où l’on sait que la France s’arrête…
– Du secteur d’activité de l’entreprise ; certains secteurs utilisent les offres d’emploi avec parcimonie et se focalisent davantage sur les cooptations, le réseau ; tout le monde sait que cette démarche est efficace mais prend plus de temps
– Du contexte économique ; 6 mois ce n’est rien dans le contexte actuel et si moi je le sais, mes collègues recruteurs aussi ! la durée de recherche d’emploi oscillerait aujourd’hui, pour un cadre, entre 10 à 12 mois tout secteur confondu.
– Particulièrement, cette durée varie aussi selon les motifs de licenciements ; les licenciés économiques enregistrent les plus grandes durées moyennes de chômage, plus de 500 jours au 1er trimestre 2012. (cf l’étude POLE EMPLOI (http://www.keljob.com/conseils-emploi/fileadmin/images_redac/Emploi_en_continu_2012/Etude_ICDC_pole-emploi.pdf)
– De l’accompagnement dont bénéficiera la personne en recherche ; celui-ci peut s’avérer utile pour permettre un bon ciblage des offres en fonction de son profil, ou encore de réaliser un coaching aux entretiens de recrutement, ou encore de redéfinir son orientation avant de reprendre ses recherches …
A noter, que cela n’empêchera pas les recruteurs de vous poser la question : « et depuis tout ce temps, vous n’avez pas encore repris un poste ? » A vous d’être suffisamment convaincant en argumentant :
– Le besoin de faire un break, faire le point, d’analyser son parcours avant de se lancer dans la recherche
– La recherche du poste qui vous permet d’évoluer, de développer aussi de nouveaux challenges … /…
Attention également à ne pas vous laisser envahir par cette culpabilité de durée de recherche d’emploi, vous amenant à « prendre ce qui vient» et de se rendre compte, à l’issue de la période d’essai, que vous n’étiez pas fait pour ce poste … d’où une perte de « temps », d’énergie et de motivation évidente !!!!
Le temps, pour un demandeur d’emploi, peut paraître long entre 2 rdv lors d’un process de recrutement, … et oui, lui ne travaillant pas, le temps passe plus lentement que celui du recruteur qui, en plus de son recrutement, doit gérer son quotidien professionnel … comptez 10/15 jours pour un nouveau rdv, après 1 premier …
Il s’agira donc de relancer votre interlocuteur sous une quinzaine de jours… pour ne pas non plus paraître impatient ou importun..
Côté recruteur, le temps est tout aussi important ; maintenant qu’il a défini ce qu’il cherchait, il veut que le process aille vite ; là aussi, la précipitation s’avère à modérer ; un recrutement fait trop rapidement peut aussi causer de réelles déconvenues au sein de l’entreprise …
Par ailleurs, suivant la stratégie de recherche d’emploi prise en compte, la notion de temps est là aussi différente ; lorsqu’il s’agit d’une offre d’emploi, le recruteur a écrit sa stratégie, il sait ce qu’il cherche et l’a communiqué ; il attend des réponses, qu’il prendra le temps d’étudier, de classifier afin d’en sélectionner pour un premier entretien (15 jours environ) ; tout étant balisé ; le processus de recrutement (date de démarrage du contrat incluse), pour un cadre, pourrait osciller entre 2 et 3 mois.
Dans le cadre d’une démarche réseau ou de candidatures spontanées, le recruteur sait qu’il a un besoin ; besoin qu’il n’a pas encore complètement défini et vous, vous arrivez là, avec vos compétences, votre regard face à sa problématique … ce qui va le faire évoluer dans sa réflexion, l’amener à budgéter son besoin … cela sera bien évidemment beaucoup plus long, mais certainement plus « payant », car vous serez seul en lisse ( !) si tant est que vous ne l’ameniez pas à communiquer sur son besoin….

Réussir un changement d’orientation

Vaste programme, me direz vous, surtout en cette période « trouble » où l’on ne sait pas vraiment comment voir l’horizon au sein de son entreprise, se son service, voire de son propre poste.
Et si c’était mieux ailleurs ? ailleurs, mais Où ? dans la même fonction et si je changeais de fonction … comment ?
En conduite du changement, les méthodes et outils de coaching sont nombreux, peut être aussi nombreux qu’il y a de coachs … N’est-ce pas ?
Je retiendrai ceux d’Alain Goudsmet, coach sportif, qui nous indique qu’il y a plusieurs étapes avant de réussir le changement :
Lorsqu’il y a changement, on passe par 3 états successifs :
• Un état initial : NORM (principe de l’homéostasie : équilibre du système qui fera tout pour revenir à l’état initial) …. Je veux changer ; ai-je vraiment raison ? après tout, on est pas si mal ici … et puis, on ne sait pas de ce que demain sera fait … mon poste, je le connais bien, mon supérieur aussi ..
• Un état d’inconfort (on vit la perturbation) : sans inconfort il n’y a pas de changement STORM un cabinet m’a repéré la semaine dernière sur VIADEO ; je suis en entretien… hum ça faisait longtemps que je n’avais plus fait ce genre d’exercice … j’y suis allé « pour voir » et le consultant m’a présenté un poste attractif (meilleure rému, possibilité d’évolution pour moi …) je me projette dans la future entreprise …
• Une notion de sens (relier le changement à un FUTUR, il s’agit de lui donner du sens pour l’accepter)TRANSFORM … je m’y projette et vois ce que cela va me procurer … une meilleure situation professionnelle, une montée en compétences, une entreprise dont les valeurs semblent me convenir, une belle carte de visite sur mon CV ….
• Pour tout changement, Il faut disposer d’ un SUPPORT; c’est la notion de PERSEVERANCE ; mon environnement proche (dit « émotionnel » ) me soutient dans la suite du process de recrutement ; mon épouse est super emballée, elle trouve que le poste me conviendrait à merveille, elle est prête à me suivre dans l’aventure … du coup, je recherche des infos sur la boîte, prépare mes futurs entretiens, envisage des simulations … j’ai décidé de mettre tous les atouts de mon côté pour créer les conditions favorables afin de supporter ce changement PERFORM
Dans cette dernière phase, il y a également plusieurs étapes qu’il convient d’analyser :
1. Ce que j’ai compris sur MOI : qui je suis ; mon profil de personnalité, mes valeurs et intérêts, ce qui me motive ; là où j’ai envie d’aller … ce en quoi je crois … en bref, ce que je sais de moi

2. Ce que je suis capable de fournir pour ce nouveau challenge ; il s’agit des moyens que je me donne pour y arriver : en termes de compétences pro, mes atouts, comment mon profil pro est perçu sur le marché du travail, les objectifs que je me fixe dans la gestion de ma carrière
3. Ce que je veux ; il s’agit là de repérer le résultat que je souhaite atteindre : en termes de fonction, d’expertise, de rémunération …
4. J’AGIS : par quoi vais-je commencer ? ciblage de mes entreprises, mon offre de services, la visibilité de mon profil sur le net, la préparation de mes entretiens, affiner mes arguments et contre-arguments….

Ensuite, les stratégies pour « agir » et mener à bien votre « changement » d’orientation, sont différentes suivant le projet qui vous anime ..

si je croise mon souhait d’orientation en « Fonction identique / Secteur professionnel identique » : La réponse aux offres est la plus adaptée ; aucun risque dans cette option, si ce n’est d’être en concurrence avec des profils identiques …

si je croise « fonction différente / secteur professionnel identique » : Vous visez là une montée en compétences (par le management) ou une expertise métier (formateur, responsable SAV …), il s’agira donc de faire la preuve que vous êtes capable d’évolution … La candidature spontanée ou le réseau relationnel sont à privilégier …

Si je croise « fonction identique / Secteur professionnel différent » : Ici, il faudra montrer que même si le secteur est différent, vos compétences sont transférables et donc mettre en exergue les passerelles … idem, la stratégie idéale : spontanée ou réseau

Enfin, croison « fonction différente / secteur différent  » : Ici, peu importe le CV … on retrouvera des projets de reconversion passant par une période en formation ou par la création de votre entreprise ou encore, le développement de compétences extra-professionnelles …

J’espère que ces premiers éléments vous permettront de préparer votre changement d’orientation. Pour travailler sur les phases 1, 2 et 3 , n’hésitez pas à vous aider, à faire appel à un tiers ; un regard en miroir est toujours plus « facilitant » …

Serénité …

En ce contexte morose, d’entrée dans l’hiver, de crise dont on nous rabâche les oreilles, si l’on parlait de détente, de sérénité, d’apaisement …
Prend-on assez en compte ce concept ? Non, notre éducation judéo-chrétienne nous oblige à penser travail, objectif, résultats … et la pression s’amplifie, ou plutôt nous-mêmes nous l’amplifions, « pour être au top, être dans le coup, gagner des parts de marché, évoluer … trouver de nouveaux clients »…… STOP !
Et si l’on parlait de Sérénité ; cet apaisement intérieur, après des moments d’agitation, du stress et de la tension…
On sait très bien que cela ne va pas durer, « Sérénité » rime avec « intermittence » et pour autant, sait-on reconnaître ces moments privilégiés lorsqu’ils arrivent ? sait-on vraiment en « profiter » ? … car c’est bien de cela dont il est question … s’en nourrir, serait source d’équilibre ; ceci nous permettant de prévenir, de protéger notre Bien-Etre, ainsi que celui de nos proches.
Notre inconscient a tendance à ne retenir que ces moments d’ennuis ; à noter que notre cerveau est aussi câblé pour traiter ces infos négatives (instinct de survie) … on rumine les situations complexes, cela nous hante, nous empêche de dormir et d’être heureux.
Malheureusement notre cerveau est incapable de ruminer, naturellement, les situations heureuses. Par exemple, la dépression supprime les souvenirs d’émotions positives … et pourtant, la sérénité s’apprendrait … les gens les plus sereins, auraient entre 55 et 70 ans ; comme si, à un certain âge, on prenait conscience que le temps passe vite et qu’il est temps de vivre et de profiter l’instant présent…
Nous savons que nous devons le faire, mais nous n’arrivons pas à le faire ; un entraînement mental est donc nécessaire pour y arriver.
Quelques pistes :
– Se remémorer des événements positifs,
– Penser à l’instant présent, surtout lorsque le moment est agréable
– Recréer du lien social, aider les autres,
– S’accorder une pause agréable minimum par semaine et la vivre pleinement
– Sourire, …

A quoi sert un bilan de compétences ?

Pour l’entreprise ou pour le salarié, découvrez à quoi sert de faire un bilan de compétences! Véritable outil de gestion de carrière, il est utile dans bien des situations, que l’on soit salarié, Rh ou manager.

Pour l’entreprise : comment utiliser bilan de compétences?

faire un bilan de comptences

Le bilan de compétences: un outil au service du manager

Vous souhaitez piloter l’évolution de carrière de vos salariés?

La loi Travail (LOI n°2019-486 du 22 mai 2019 – art. 11 (V) ), depuis Mai 2019, impose la tenue d’un entretien professionnel tous les 2 ans entre l’employeur et son salarié (Article L6315-1). Cet entretien est consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

Dans ce cadre, nos clients Responsables RH et managers, nous sollicitent pour accompagner leurs collaborateurs dans: 

  • la gestion de leur carrière
  • une approche réflexive, en lien avec les évolutions de l’entreprise mais aussi les évolutions du travail
  • la recherche permanente de leur employabilité
  • la réflexion d’un « parcours évolutif » avec l’entreprise, afin de les « fidéliser », sur un marché de l’emploi florissant où les opportunités externes sont multiples …

et tout ceci, afin de disposer d’un plan d’actions réalistes, pour avancer avec l’entreprise.

Ainsi, le bilan de compétences est un des outils dont le manager dispose, dans sa mallette, pour aller plus loin, dans l’accompagnement professionnel de ses collaborateurs.

Accompagner la reprise d’un salarié après un Burn-Out grâce à un bilan de compétences

A la reprise d’un épisode de Burn-Out (ou d’épuisement professionnel), la vision du salarié a évolué.

Ses objectifs personnels et professionnels ne sont plus les mêmes et envisager son retour, nécessite de se poser et souvent, de revoir les missions.

Il s’agit souvent d’un « homme-clé », que vous ne souhaitez pas perdre au sein de l’entreprise.

Aussi, votre rôle, en tant que Rh ou manager devient celui d’un coach en gestion de carrière, de manière à aider votre collaborateur à rebondir professionnellement, au sein de l’entreprise.

L’objectif doit être WIN/WIN, pour lui, comme pour l’entreprise.

Donc, ce sera, pour lui:

  • le moyen d’accéder à de nouveaux challenges,
  • d’être plus aligné avec ses aspirations, sa personnalité et ses valeurs,
  • d’être donc forcément plus efficient pour l’entreprise.

Un bilan de compétences pour accompagner la mobilité interne

Votre entreprise ne cesse de croître. Vous souhaitez accompagner les collaborateurs de la première heure. Ceux qui connaissent l’entreprise depuis ses débuts et qui ont envie de s’investir encore plus dans l’aventure.

Cependant, ont-ils le profil ou la personnalité pour encadrer les équipes, intégrer les nouveaux?

Gérer des projets ou gérer des hommes, c’est le propre du cadre. Il n’en demeure pas moins que le management d’équipe constitue une étape essentielle pour élargir le champ de ses responsabilités en entreprise. Cela nécessite des qualités spécifiques, différentes du management de projet: savoir communiquer, être capable d’écouter; autant de qualités (ou soft skills) indispensables pour devenir manager d’équipe.

Au jour le jour, le manager se doit aussi de gérer les congés, d’évaluer ses collaborateurs, de décider des formations, …

Dans le contexte actuel, encore appelé VUCA* (Volatile, Uncertain, Complex , Ambigu) ou encore incertain et mouvant, le job du manager est de:

  • obtenir le meilleur de ses collaborateurs, pour atteindre les objectifs fixés
  • légitimer son autorité
  • s’approprier les objectifs de l’entreprise et les relayer, en suscitant l’implication

C’est tout l’art du management : obtenir sans imposer, écouter et savoir trancher et surtout, donner du sens.

Proposer de faire un bilan de compétences, dans ce cadre, c’est donner le moyen à votre collaborateur :

  • d’évaluer son potentiel pour une montée en compétences,
  • de repérer ses atouts mais aussi ses points de vigilance,
  • de l’accompagner à « monter la marche » en préparant, avec lui, l’accompagnement formation nécessaire.

Pour le salarié : A quoi sert de faire un bilan de compétences?

Vous vous posez des questions sur votre devenir professionnel et vous souhaitez faire évoluer votre carrière?

Vous envisagez une réorientation professionnelle, explorer votre potentiel et développer votre identité professionnelle.

Bonne nouvelle : le marché de l’emploi est plus que porteur !! Mais comment se diriger ? Où trouver du sens ? Donnez vous les moyens de réussir ces changements!

faire un bilan de compétences FRh Cinseil

Voici quelques exemples concrets :

  • Vous avez un projet de création d’entreprise ? Définir son projet personnel est une étape très importante, malheureusement souvent négligée !
  • Un projet de reconversion professionnelle ? Envisager une réorientation sans se tromper .. « mais quelle voie choisir ? je n’ai pas d’idée » …

Faire un bilan de compétences, c’est ouvrir le champs des possibles

Dans un premier temps, le bilan de compétences permet de :

  • vous permettre de creuser vos intérêts personnels et professionnels,
  • mieux vous connaître, sur le plan des valeurs et de votre personnalité,
  • ouvrir le champs des possibles, en découvrant des orientations qui vous ressemblent.

Faire un bilan de compétences, c’est aussi définir un plan d’actions réaliste et pragmatique

Et dans un second temps, les pistes d’orientation ainsi élaborées sont testées, en 3 étapes:

  • par l’étude de fiches métiers,
  • au travers d’enquêtes métiers réalisées auprès de professionnels,
  • au regard du marché du travail et de la réalité de leur mise en oeuvre (faisabilité, reprise d’études, étude des contraintes personnelles …).


En conclusion, le bilan de compétences vous aidera à répondre à ces questions, et vous permettra de:

  • envisager le job d’après,
  • mais aussi de concevoir un véritable plan de gestion de votre carrière,
  • savoir argumenter votre projet auprès d’un recruteur, d’un banquier ou d’un responsable de formation.

Pour faire un bilan de compétences chez nous, c’est ici

L’environnement VUCA* vous intéresse? une petite explication de Benjamin Chaminade ici

C’est la rentrée … posons-nous les bonnes questions!

Ça y est … les vacances sont finies …exit les valises déjà rangées dans les armoires, exit les tongs les soirées rosé pamplemousse … fini la sieste ; il va falloir reprendre le rythme.
Et c’est souvent à ce moment, que l’on se prend à penser à son job, à revoir ses priorités … ses motivations …

Question : si vous travaillez beaucoup, est-ce avec plaisir ?

Une enquête (sociovision, 2009) montre qu’une forte minorité (22%) de cadres associent Bien-Etre et Désengagement … paradoxe ou signal ?

Quelques signes à ne pas prendre à la légère…
• Tous les soirs, quand vous sortez du bureau (20h), vous jurez de changer de job !
• Le yucca de votre bureau moisit faute d’avoir été trop arrosé
• En une semaine, vous avez changé 4 fois de fond d’écran
• Impossible de savoir ce qui s’est dit à la dernière réunion de département
• Vous avez mis 5 job boards dans vos favoris
• Vous êtes brutalement passé de 72 amis à 452 sur facebook ou viadeo
• Vous déjeunez 3 fois par semaines avec dans anciens de votre école
• Vous vous êtes mis à étudier le statut d’auto-entrepreneur, pour un revenu d’appoint

Quelques solutions :

• Relevez la tête
Parler de ses difficultés, de son insatisfaction, de ses inquiétudes … à quelqu’un d’extérieur à l’entreprise, permet de se libérer du quotidien

• Faites un bilan
Seul ou avec un consultant, trouvez ce qui vous est indispensable pour bien travailler et pour avancer. Faire déjà ce bilan, c’est s’accorder une prise de liberté.

• Identifiez ce qui vous plaît
Identifiez ce qui vous plaît le plus dans votre métier pour y consacrer plus de temps.
Aux premiers signes de démotivations, rencontrez votre n+1 pout clarifier vos missions, vos objectifs et vos moyens, voire lui faire des propositions d’actions différentes …

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